Quatrième de couverture

Dans les écrits du météorologue anglais Howard, Goethe crut trouver le soutien tardif de la science positive à l’une de ses plus fermes convictions : la nécessité de s’en tenir en matière de théorie aux phénomènes, de faire retour – comme le dira plus tard Husserl – aux « choses mêmes ». Il approchait de soixante-dix ans, et venait d’entreprendre l’étude des phénomènes atmosphériques, auxquels il portait depuis toujours un vif intérêt.

Deux textes s’ensuivront, qui n’avaient encore jamais été traduits en français : la Forme des nuages (1820) et l’Essai de théorie météorologique (1825), où se mêlent observation, théorie, et autobiographie, comme pour souligner l’intimité de la pensée et de la vie.

On pourra bien sûr les lire dans une perspective épistémologique, ou comme documents pour l’histoire de la météorologie. Mais plus encore, ce sont les liens de l’homme et de la terre qu’ils nous invitent à interroger.

(titres originaux : Wolkengestalt – nach Howard & Versuch einer Witterungslehre)

 

Éditions PREMIÈRES PIERRES

Johann Wolfgang
von GOETHE

La forme des nuages
d’après Howard
suivi de
Essai de théorie météorologique

Traduit de l’allemand
par Claude Maillard

année de parution : 1999
ISBN : 2-913534-00-7
format : 13 x 20,4 cm, 64 pages
prix public : 12,40 euros

Ouvrage traduit avec le concours du CNL

 

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Goethe, la Forme des nuages
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« Loin d’être des marginalia embarrassants ou des curiosités de l’histoire des sciences, ces deux opuscules météorologiques – traduits avec la finesse requise par Claude Maillard – nous conduisent au plus près de la source même de la poésie de Goethe. »
La Quinzaine littéraire