Le
Devoir
(31 mars 2002)
« Cet esprit classique, qui survit chez Carus sans dire son nom,
est l’une des beautés que réserve ce petit livre. Qui sait
? le monde se transforme peut-être moins rapidement qu’il n’en
a l’air. » Marie-André LAMONTAGNE
Le
Temps
(19 fév. 2000)
« C’est de prime abord un carnet de route offrant maints détails
sur le mode de vie de l’époque et enrichi de descriptions circonstanciées
des paysages immortalisés par les toiles de Friedrich. Mais c’est
surtout, inspirées par l’île aux blanches falaises de craie,
des pages révélatrices sur la rencontre d’un esprit sensible
et perspicace avec une “nature primordiale […] pure, belle et solitaire”. »
Wilfred SCHILTKNECHT
Le
Monde (11 fév. 2000)
« Bien que Carus n’ait passé que quelques jours sur
l’île de Rügen, il a su donner à ses impressions la
force d’une révélation qui invite encore à la méditation. »
Pierre DESHUSSES
Le
Nouvel Observateur (3-9 février 2000)
« Ce récit, une suite d’images saisies dans son journal,
est “un poème tout simple qui vous remue jusqu’au tréfonds”. »
Ruth VALENTINI
Le
Magazine littéraire (fév.
2000)
« Ce petit livre […] est indispensable à qui part en
promenade vers le nord de l’Allemagne, vers la Poméranie et la
Baltique. Il donne ce qui manque à la plupart des guides touristiques
habituels : de quoi mettre un peu de rêve dans sa tête. »
Lionel RICHARD
Santé
mentale (fév. 2001)
« Cet ouvrage, avec la simple et remarquable préface de
K. White, est un petit joyau qui guide notre regard dans un parcours
poétique au-delà du sensible. » Albane SALLERON
Carl
Gustav CARUS
Voyage à l’île de Rügen
Sur les traces
de Caspar David Friedrich
Préface
de Kenneth White
Traduit de l’allemand
par Nicole Taubes
année de parution : 1999
réimpression : 2010
ISBN :
978-2-913534-01-8
(2-913534-01-5)
format : 12 x 18 cm, 64 pages
prix public : 11,90 euros
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